Le conseil municipal de Strasbourg a délibéré dans sa séance du 31 janvier 2022, d’un plan « genre ».
La Maire de Strasbourg, davantage préoccupée par ce genre de questions que par la sécurité de sa ville, la propreté du territoire ou la lutte contre l’antisémitisme grandissant à Strasbourg (voir les chiffres du ministère de l’intérieur), veut imposer une révolution des esprits portée par le genre à grands coûts financiers et médiatiques!
Non contente, d’avoir imposé l’écriture inclusive idéologique et rébarbative, elle s’en prend à l’opération touristique, « Strasbourg, mon amour », trop hétéro centrée pour elle ! Il faut donc développer une « culture du genre », atteindre « l’égalité professionnelle » et « développer des politiques en matière de droits des femmes”.
Après le couplet sur les cours d’école trop genrées, nous voilà au summum du dogmatisme visant à imposer, quoi qu’il en coûte, une administration égalitaire femme-homme, et réfléchir à la culture non genrée!
Il est vrai que Strasbourg a attendu les écolos extrêmes-gauchos pour inventer ce genre d’absurdité reposant uniquement sur une vision étriquée de la place de la femme dans la société.
Il est vrai qu’un homme ne pourrait pas être pris au sérieux lorsqu’il évoque le problème des féminicides ou la qualité intellectuelle d’une femme, sans être soupçonné d’avoir de mauvaises arrières pensées calculées et structurées.
En pleine période de crise sanitaire, le plan municipal semble une priorité bien plus importante sur l’échelle de Richter, que celle de l’accès aux soins de tous, ou que la relance d’une économie balbutiante et malade.
Plutôt que d’adopter un plan de lutte contre l’islamisme grandissant dans la ville, ou un plan d’aide sociale aux plus démunis, ou un plan de renforcement de l’attractivité de la ville, ou un plan sécuritaire renforcé sur le banc municipal, la Jeanne et ses lutins s’engouffrent dans des actions de secondes zones palliant leurs incapacités à gérer dignement la Capitale européenne qu’est Strasbourg.
Cire