Notre cher pays souffre d’un malaise vagual. Non, il n’y a pas ici de faute d’orthographe, la France étant confrontée à une succession de vagues que je vais détailler.
La vague à lames, autrement dit la vague terroriste, essentiellement d’inspiration islamique, qui sévit depuis les années 80 après avoir été co-inventée par l’OLP d’Arafat et le KGB en 1970 à Zarka. À lames car elle se manifeste de nos jours essentiellement par des coups de canifs dans notre vivre-ensemble, inspirés par des califes mollement combattus par l’Etat régalien en déliquescence.
La vague COVID, subdivisée en autant de sous-vagues que nécessaires gérées au mieux par nos gouvernants mondialisés pour tenir en laisse et en émoi leurs administrés. À ce sujet, la dernière sous-vague qualifiée de tsunami ferait plus penser à une vaguelette salvatrice et immunisante qu’à un cataclysme maritime.
La vague des mesures inutiles, contradictoires, improvisées, absurdes et souvent inapplicables qui jaillissent à jets continus de nos pépinières technocratiques aussi réactives et pertinentes qu’un obèse faisant une démonstration de breakdance.
La vague écolo-woke qui balaye sur son passage notre histoire, nos traditions, notre culture, en un mot notre civilisation.
J’arrête ici de tourner le couteau dans la plaie. Néanmoins je dirais que ces vagues additionnées expliquent l’apathie et le découragement de la plupart des membres de notre société qui, tels les coquillages que l’on pêche à marée basse, s’enfoncent dans le sable; eh oui, je vous parle bien évidemment des couteaux.
Autrement dit, sauf miracle, événement surnaturel par définition, le malaise vagual risque fort d’évoluer progressivement vers un coma fatal. Le diagnostic posé et le pronostic évoqué, que suggèrent nos lecteurs encore à l’air libre pour y remédier ?
Alphonse Danlemur
