Le 6 juin 2024, nous commémorerons le 80e anniversaire du débarquement des alliés.
L’opération Overlord » a été une prouesse technologique et organisationnelle qui a défié tous les pronostics.
Non seulement les alliés ont intoxiqué les allemands avec l’opération “fortitude » menée par le fameux général Patton faisant croire à un débarquement dans le Pas-de-Calais, mais la météo a aussi
paradoxalement joué en leur faveur.
Qui pouvait penser qu’un débarquement allait avoir lieu en pleine tempête, et ce au point le plus éloigné de l’Angleterre ; c’est-à-dire en Normandie tandis que le Pas-de-Calais semblait en toute logique le plus adapté.
Quel coup de génie de Eisenhower, commandant suprême des forces alliés et secondé par le maréchal Montgomery et l’amiral Ramsay.
L’armada composée de près de 140 000 soldats, de 7000 navires et de plus de 14 000 avions avec les 82e et 101e aéroportée a débarqué sur les plages Utah, Omaha, Gold, Juno, Sword. La construction de ports artificiels a permis d’acheminer troupes et logistiques.
Espérons que la cérémonie du 6 juin sera à la hauteur de l’évènement.
Pour rappel, aucun chef d’Etat n’a cru bon d’organiser en novembre 2022, une cérémonie de commémoration en l’honneur de l’opération Torch, débarquement anglo-américain du 8 novembre 1942 à Casablanca et à Alger.
Ce débarquement a changé le cours de la guerre en faveur des alliés en Europe de l’Ouest.
Imaginez, si à la place de Eisenhower, Patton, Montgomery, Leclerc, nous avions eu le « woke » du général Mike Milley et d’autres crétins plus préoccupés par le climat que par la guerre qui est censée être leur métier.
Et au lieu De Gaulle, Churchill, Roosevelt, nous avons eu la clique de Macron ou de Mélenchon.
Nous parlerions “germain à saluer je ne sais qui”, comme le chante Michel Sardou.
Comment expliquer la tendance occidentale actuelle à l’autoflagellation et au suicide ?
Donald Duck