Salops, salopes, ou les nouvelles mamelles de la France

Les langues se délient car les otages qui sortent difficilement de leurs traumatismes décrivent la suite de l’horreur du 7 octobre. 

Il a fallu que le monde soit confronté à l’indicible sauvagerie des terroristes du Hamas, pour que ceux qui ont fermé les yeux pendant des décennies acceptent enfin de dire, d’écrire et de parler. Cette fois la force de la réalité les a fait sortir de leurs choix : la peur, le silence et la lâcheté.  

Pourtant, rien de nouveau depuis la prise du pouvoir par les ayatollahs en Iran, le monde avait vu, entendu, filmé, vérifié le cynisme des tyrans, la cruauté de Daesh, les charniers au Darfour, les pirates qui massacraient les boat people en mer de chine…

Le drame du 7 octobre a percé le fond de la pensée et l’idéologie de ceux qui se disaient les défenseurs du monde libre. A travers leurs faits et gestes et leurs discours répugnants, on a découvert de quoi étaient animés les esprits de ces tartuffes aussi méprisables que les sous produits de l’humanité, dont ils soutiennent les actes du 7 octobre. 

Malgré l’insistance des israéliens qui ont demandé à des journalistes, des députés, des observateurs, des experts, de visualiser les scènes du 7 octobre tournées par le Hamas, les négationnistes de la République, les députés LFI, persistent à souiller les sièges de l’Assemblée nationale par leurs propos immondes qui mécréantisent d’une manière perfide les victimes et qui justifient les actes des coupables du 7 octobre.  

Mais la Palme de l’ignominie revient sans conteste aux groupes féministes qui ont atteint le summum de l’abjection. Me too et Cie, des bourgeoises dégénérées, frustrées, qui n’ont strictement rien de féministe à leur actif. 

Leur rôle essentiel est la déconstruction et la chasse à l’homme blanc, le dernier en date étant l’acteur Gérard Depardieu, dont elles dénoncent essentiellement les paroles et les actes vulgaires à l’encontre des femmes, pour la majorité des bourgeoises, les femmes dans la détresse réelle restant encore une fois, la dernière roue de la charrette de ces polichinelles que la haine de soi entraîne à l’acharnement systématique sur tout homme blanc célèbre de préférence, dans le but de le déconstruire selon la théorie Wokiste de Rousseau-la-folle.

Pour la journée contre la violence faite aux femmes, le 25 novembre dernier, ces groupes de femmes qui déshonorent toutes les théories féministes, ont refusé les représentantes israéliennes à la manifestation. Rappelons ce que les jeunes femmes israéliennes ont enduré le 7 octobre lorsqu’elles ont été torturées, violées, mutilées de leurs appareils génitaux, puis violées sans vie une deuxième fois.  Me too et Racaille ont fermé les portes de la manifestation aux mouvements féministes israéliens alors que cette journée du 25 novembre aurait dû être dédiée aux femmes victimes du Hamas. 

Personne n’a eu le courage de dénoncer qu’au cours de la manifestation, un groupe de femmes qui  parlaient des femmes israéliennes a été attaqué avec une telle violence que la police a dû les exfiltrer.

La  définition essentielle du féminisme est un ensemble d’idées orientées vers un but commun: l’alliance, l’aide, le soutien, le respect,  l’accompagnement de toutes les femmes sans condition, d’où qu’elles viennent, quelles que soient leur race ou leur religion. Dès qu’une activiste rentre dans l’arène elle n’a plus d’obédience politique, de nationalité, de religion ou d’idéologie. 

Le comportement des femmes du 25 novembre a discrédité toutes les organisatrices et les participantes de cette journée. Elles  n’ont même pas eu un semblant de jugeotte pour dissocier le conflit des victimes ;  c’est dire le niveau de celles qui prétendent défendre les femmes, dont les Me too qui dévoilent dans le cadre de cette journée, que leur seule compétence ne consiste qu’à une chasse à l’homme blanc et à son anéantissement.

Le silence volontaire, le défaut d’éthique et le traitement irrecevable qui ont été faits aux représentantes des femmes du pogrom du 7 octobre, est aussi éloquent que le silence de toutes les femmes de France : artistes, écrivains philosophes, politiques, toutes des planquées bâillonnées par la force de la violence qu’elles soutiennent. 

Le plus glaçant, est de découvrir ceux qui s’agitent au nom de l’humanité pour soutenir le pogrom du 7 octobre. Parmi les mieux classés sur les listes des salops et des salopes on trouve : Les Me too et différents groupes féministes, médecins du monde, médecins sans frontières, La Croix-Rouge et les innombrables organisations qui soutiennent  la discrimination et le meurtre international.

Les femmes israéliennes ont été victimes d’attentats, de tortures, de viols, Me too et consort les ont privées de parole le 25 novembre 2023. On s’en souviendra.   

Séraphine

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