Thomas, un adolescent de 16 ans a été tué à l’arme blanche au cours d’une attaque par une bande armée lors d’un bal de village à Crépol dans la Drôme le samedi 18 novembre.
Crépol ? Juste un fait divers parmi d’autres, il n’y a pas de quoi en faire un fromage ! Un fait divers, ça ne mérite pas une minute de silence à l’Assemblée nationale quand même ! Il ne faut pas charrier non plus, Thomas n’est pas ce petit ange de délinquant récidiviste pour lequel la France morte de peur s’est mise à plat ventre. Pas de vagues …
Voilà à peu de mots près, le résumé politique et médiatique de la tuerie de Crépol. Il faut se débarrasser du dossier Crépol, vite, très vite.
En attendant, la presse, les commentateurs, les politiques s’agenouillent, ils rampent et nous martèlent que ce samedi soir, à la salle des fêtes de Crépol, la mort de Thomas n’était qu’un fait divers, une bagarre entre jeunes comme on a l’habitude d’en voir en France. « … Ils sont venus pour s’amuser, pour draguer des filles». dit Patrick Cohen le journaliste de l’émission « C’est à vous », sur France 5. Draguer des filles avec des lames de 25 cm ? Normalement quand on drague une fille on lui offre des fleurs…
Sacré gentlemen le Patrick Cohen, on trouve en libraire une Bd qui lui irait comme un gant: « la drague pour les nuls ».
Et le mensonge de l’Etat poursuit : « C’était un incident », c’est triste, mais bon, c’est la fatalité hein ?! Des rixes de gangs de voyous, il y en a toujours eu dans les villages, même dans les villages les plus paisibles, allez circulez mauvais esprits, il n’y a rien à voir… Ah ! ces jeunes ! Hein ?
La duplicité et la complicité du politique et du médiatique tentent de masquer des actes quasi quotidiens, révélateurs de la crise profonde dont souffre la France. Sauf que ça ne marche plus malgré une volonté aveugle de torpiller la réalité en tournant autour du pot sémantique.
Il faut arrêter de prendre les français pour des gogols; ils savent déchiffrer l’information, ils la connaissent bien cette France délinquante qui leur pourrit la vie depuis des décennies. Ils ne sont pas prêts d’oublier les pogroms de Charlie, du Bataclan, de Crépol, ces pogroms anti français anti blancs, perpétrés librement et en direct, sur le sol d’une France, où l’on peut pénétrer dans un lycée de la République comme dans un moulin, demander où est le prof d’histoire et le buter. En France, toutes les intentions meurtrières s’expriment librement, comme un bras d’honneur à l’autorité, à la République et à nos valeurs fondamentales.
Fastoche la théorie du fait divers, la France brûle, mais la République de Macron fait intentionnellement abstraction de toutes les violences racistes, anti françaises anti blancs au nom de la théorie du fait divers.
Pour les langues de vipère de gauche, cet événement est du pain béni pour une récupération par l’extrême droite. Et si comme moi, on n’est pas un adepte de La Théorie des Lâches, on devient alors un ennemi immédiat de la Liberté, l’égalité, la fraternité, et l’ ami de nos ennemis : Un extrémiste de droite.
Pourtant Charlie, le Bataclan, Ozar hatorah, Nice, Strasbourg, Crépol, ce n’était pas l’extrême droite. « Les suspects majeurs gardés à vue sont Chaïd Yasir, Mathys, Fayçal, Kouider Yanis, » *
« Je demande du respect, tweet Sandrine Rousseau » Quand je vois la meute politique qui se jette sur cette affaire… Je demande du respect ! » Ni elle, ni ses amis ne ratent jamais une occasion de la fermer. Pour eux, le respect s’adresse a ceux qui ont clairement dévoilé leur volonté de tuer du blanc. Mais S. Rousseau et ses acolytes, restent dans le strict récit wokiste qui légitime les petits esprits imbibés du houmous ambiant.
EELV/NUPES, ces ennemis de la France, peuvent toujours essayer de nous faire avaler que 90 pour cent des barbares sont des Français ; les réseaux sociaux rétabliront les vérités. Il y a en France 150 attaques au couteau par jour.
On les voit au grand jour les “poignardeurs,” jusque dans les soirées des cités où les couteaux menacent. Le mot d’ordre de la République, “pas de vague” contribue et favorise une violence impunie qui, selon l’amplitude de l’immigration, est de plus en plus active, se développe et gonfle comme une rumeur sourde qui attend son grand soir.
Le moment viendra où le peuple reprendra les rennes de son avenir en confiant les voix qu’il a prêtées à la République à ceux qui lui rendront sa vraie France, la France où l’on n’entendra plus Mort aux juifs, et où l’on ne tuera plus dans nos campagnes, car jusqu’à nouvel ordre, la France des banlieues n’est pas la France de l’avenir.
Séraphine
*(sources: Le Figaro)
