Il y a un mois un homme a ouvert le feu dans un hôpital de Rotterdam : 3 personnes tuées. Il y a 8 jours, à Arras, un professeur de collège a été pris pour cible et tué par un de ses anciens élèves fiché « S ». Il y a 3 jours, un homme tue sans motif deux touristes suédois à Bruxelles.
Le terrorisme est un serpent féroce qui guette, qui propage son venin mortel aux moments de paix. C’est le coup de couteau dans le dos des lâches qui s’attaquent à des innocents. La barbarie frappe à toutes les échelles. Le djihad islamique n’est pas un mot anodin ou l’intitulé d’un groupe de bisounours ou de chatons qui miaulent, c’est le cri de guerre violent d’un groupe d’assassins sadiques, inhumains et sanguinaires, qui scande la mort et le sang à chaque manifestation, qui affiche ses intentions à tue-tête depuis des décennies face aux responsables politiques qui regardent le carnage planqués derrière les yeux des caméras.
L’idéologie du djihad islamique est connue depuis ces 40 dernières années. C’est une idéologie qu’aucun groupe terroriste n’a cherché à cacher, au contraire, elle s’inscrit dans tous les slogans et les chartes de ces sous-hommes dont le but est d’installer un état islamique en terre sainte, le premier bastion de la conquête islamique, avant la conquête de l’occident jusqu’à ce que le dernier des mécréants soit converti à l’islam ou soit mort.
Il a fallu l’hécatombe du 7 octobre pour que l’Occident, notamment la France, comprenne enfin que son humanisme et sa théorie de la défense des droits de l’homme n’est qu’une vieille rengaine démodée dans ces cas.
Du Général de Gaulle, à E. Macron nous n’avons entendu que des pleurnicheries hypocrites et nous avons assisté à une danse du ventre permanente destinée à plaire à nos pires ennemis au nom de la peur et de la lâcheté de nos gouvernements successifs.
Il est clair que le projet du djihad est l’anéantissement de nos civilisations occidentales, ce n’est un secret pour personne. Mais cette fois il est encore plus clair qu’Israël est déterminé et qu’il remplira enfin sa mission de rendre au monde sa liberté et d’être l’exemple des nations comme il est dit… Qui sait ? Peut-être aurait-il pu l’être si la communauté internationale ne l’avait pas contraint à baisser l’échine à chaque attaque du Hamas.
Le Muppets show se remet en scène, députés, associations médias, et toute la gente marécageuse fait son show habituel. La formule magique reprend ses droits. « Les pauv’s palestiniens » les pauv’s en question sont pour beaucoup partie prenante de l’idéologie djihadiste. Ils sont complices de leurs dirigeants, ils ont aussi tué, massacré et mutilé. Mais ça ne se dit pas. Ce n’est pas politiquement correct. Il faut suivre les formules politico- hypocrites. On tue, mais « pas de vagues »… Pas de vagues pour mieux laisser la vermine gagner du terrain.
Les bouffons de la France insoumise dont D. Obono et M. Panot, n’ont pas hésité à rompre le pacte républicain en bégayant pitoyablement toutes sortes de circonstances atténuantes pour expliquer et légitimer le terrorisme. LFI qu’elles représentent soutient les manifestations aux couleurs des croix gammées et des slogans nazis. En soutenant le terrorisme, LFI est forcément complice des tueries et des attentats perpétrés sur le sol de France et à travers le monde. Pour les deux porte-serviettes de Mélenchon, ces actes d’horreurs qui terrifient la planète, sont “des actes de résistants” ose dire D. Obono pour justifier la boucherie perpétrée en Israël par ses amis «résistants». A part ses rugissements de haine sensés rassembler son électorat, que fait concrètement LFI pour aider le peuple palestinien ?
La définition des résistants selon D. Obono, est donc une organisation terroriste d’assassins sanguinaires qui tue des enfants et qui poignarde des professeurs dans nos écoles et nos collèges…Quant à M.Panot, elle fait penser irrésistiblement à une période sombre de notre histoire où les femmes avaient des rôles douteux….
Et pendant ce temps … E. Macron enjoint à l’Etat d’être “impitoyable », tout en participant à l’accueil en Europe de milliers de migrants dont on sait qu’on ne pourra pas les absorber dans notre tissu économique et social faute de moyens et faute d’infrastructures.
D’une façon générale, les pouvoirs publics ne font que réagir aux problèmes. Mais il n’y a aucune prise en compte en amont de ces problèmes liés à l’immigration et à l’islam. Jusqu’ici, aucune ébauche de solution n’a été apportée pour la sécurité de nos villes, nos quartiers, nos pays voisins. Aucune réflexion n’a été envisagée pour renforcer notre fausse sécurité « Schengen ». Aucune amélioration n’a été trouvée pour mieux filtrer les populations migrantes, ou pour renforcer notre volonté d’expulser les fichés » S » qui ont une double nationalité ou qui sont étrangers et qui ont déjà commis un crime ou un délit en France. Aucun progrès n’a été accompli ces 40 dernières années, et les pouvoirs publics se réfugient encore dans l’incantatoire et dans le constat du fait accompli.
Restons unis, dit E.Macron, restons debout…. Unis ? Avec qui ? Debout ? Il est à genoux depuis si longtemps qu’il ne le verrait plus ? …
« Moi je suis sûre sûre qu’on nous prend pour des cons mais j’en suis certaine quelque chose ne tourne pas rond » (tonton David).
Séraphine
