Ce 8 mai, Emmanuel Macron a prononcé un discours à l’image de tous ses discours où s’inscrivent la fadeur, l’insignifiance et ses habituels trémolos dans
Les effluves doucereux et trompeurs d’un monde qui s’éloigne de plus en plus vite nimbent encore notre imaginaire où l’exotisme le dispute à l’angélisme le