Attitudes face au désir de rencontrer un arbre

Face au doute et dans la première phase, tous ceux qui désirent cette rencontre plutôt improbable avec un arbre, font d’abord une démarche superficielle commune.

« Échanger, parler, partager avec un arbre »  ! C’est quoi cette histoire ? Et pourtant vous avez déjà la moitié des clés pour adopter une attitude intérieure qui vous permettra le début de l’échange. 

1er conseil – Lorsque nous cherchons à percevoir quelque chose à tout prix, nous sommes obligés de déployer des trésors de volonté, ce qui augmente nos tensions. Les résultats obtenus sont à l’inverse de nos espérances.

Cette étape est frustrante car elle a tendance à nous culpabiliser, nous dévaloriser, nous engluer dans des schémas de déni de soi même et des autres. 

2ème conseil- Faite cette démarche seul, loin de tous regards, de toutes tensions, pour vous et vous seul. Le mot clé est : intimité absolue.

3ème conseil – Les prétextes

“L’exercice n’est pas bien expliqué , ça ne me convient pas, c’est ridicule, ce n’est pas le bon arbre, Je suis fatigué, j’ai froid,  j’ai chaud, c’est quoi ces conneries, ça rime à quoi ces fadaises, il se fait tard je dois rentrer, Il pleut ‘’… 

Y-a-t-il une clé pour dépasser tous ces écueils ? 

Oui, mais elle n’est ni dans la méthode, ni dans les choix que l’on fait. Alors où se trouve-t-elle ? Pourquoi est-ce que je ne ressens rien ? Pourquoi ne se passe-t-il rien ?  Toutes ces questions, notre barde les entend à chacune de ses sorties. L’erreur est que nous  cherchons à l’extérieur.

C’est généralement à l’extérieur que nous cherchons les causes de nos difficultés ou de nos échecs, plutôt que de les chercher à l’intérieur de nous-mêmes.

Pourquoi ne pas chercher comment nous aborderions la situation en adoptant une attitude intérieure ? (valable dans bien d’autres situations de la vie).

Et si, nous nous demandions pourquoi nous n’avançons plus, pourquoi nous ne ressentons rien ? N’y aurait-il plus rien à sentir dans la nature ? Tout serait-il mort dans la forêt ? La vie se serait-elle arrêtée ?

Non, la vie continue dans l’arbre et dans toute la nature. Comment se fait-il, alors que je ne réussisse plus à me mettre en résonance avec ce qui vit et à en avoir conscience ? Mes perceptions seraient-elles en berne ?

Les serrures identifiées 

Comment mettre les clés dans les serrures pour avancer. Vous avez vos 5 sens donc déjà 5 clés, ne considérez plus seulement l’extérieur, c’est-à-dire l’objet observé, sondez surtout  votre intérieur. 

Demandez-vous quel est le principal obstacle auquel vous vous heurtez dans cette démarche, celui qui vous prive d’un contact franc et direct avec votre arbre. ‘’Ce moment vous appartient”.  

Les solutions sont à chercher à l’intérieur de nous-mêmes, et dans notre manière de regarder, essayons plutôt d’améliorer le contact que l’on a avec soi-même, car, sans celui-ci, le contact avec l’extérieur, c’est-à-dire avec tout ce qui nous entoure et entre autres avec les arbres devient difficile. 

La bonne attitude pour accéder à cet échange avec l’arbre de notre choix ?

Vous y parviendrez grâce à une pratique assidue et à une bonne connaissance du processus  de vos chakras en équilibre avec vos tensions. Votre quiétude ne se développera que selon la vigilance que vous apporterez à maîtriser votre agitation mentale et votre attitude intérieure pour parvenir à être vous-même.

La conclusion du barde est simple, vous avez les 5 clés pour les 5 premières serrures pour accéder à ce dialogue et à ce moment de partage, il vous manque maintenant vos 5 brindilles.

Marcello le barde du Torchis

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