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Donald Super Trump

« Trump is back, l’angoisse est aussi européenne, L’inquiétant come back de Donald  Trump, le vulgaire facho, Max la menace … »

Ce sont les grands titres de la presse française en phase avec une gauche destructrice, annonciatrice d’une fin du monde dont l’objectif final est de construire un nouveau monde en détruisant d’abord le monde existant. La campagne de propagande anti-Trump des démocrates, présente Donald Trump comme un despote, un électron libre dangereux, un dictateur, un tyran, un futur Hitler et tous les missiles verbaux bons à faire barrage au transfert du pouvoir en cas de victoire de Trump. 

Cette campagne basée sur une violence verbale permettrait, selon les démocrates, d’ébranler l’administration Trump et d’alimenter des scénarios post-électoraux qui provoqueraient des émeutes d’une ampleur telle que le président serait contraint d’invoquer la loi sur l’insurrection. Si certains hauts responsables militaires refusent de suivre les ordres de Trump, toujours selon les scénarios déjà prêts, les forces armées américaines se diviseraient en laissant l’Amérique au bord du gouffre. En désignant Trump comme l’homme à abattre, l’appareil de propagande des démocrates utilise la tactique de calomnie où la gauche excelle, comme les nazis savaient le faire avec le succès qu’on leur connaît en la matière.

Les recherches de Lee Schmit*, montrent entre autres, les menaces qui guettent la liberté du personnel militaire avec pour objectif de pousser l’armée contre Trump. La délation, le dénigrement, l’infamie de la gauche américaine a une force de frappe qui dépasse largement les outrances décriées de Trump.  

Selon le rédacteur en chef de l’Atlantic, « The Donald » est supposé mépriser les forces armées américaines. Son ancien chef d’état-major, John Kelly, l’accuse de vouloir susciter le même respect qu’Hitler de la part de ses officiers généraux. Trump aurait même été compromis par les services secrets russes qui l’auraient soutenu. Le New York Times appelle à une mobilisation de masse de la société civile en cas de victoire pour ostraciser Trump et ses partisans et pour provoquer une intifada à l’américaine. Quant à Kamala Harris, elle affirme à qui veut l’entendre que son adversaire est  » un fasciste ».  

Robert Kagan, un autre idiot utile de Washington, écrit que l’Amérique est “à quelques pas, et à quelques mois, de la possibilité d’une dictature “. Un article de NBC affirmait même que Trump étudiait les moyens d’utiliser l’armée pour assassiner ses rivaux politiques. Jamie Raskin un élu démocrate du Maryland à la Chambre des représentants, promet que le Congrès destituerait Trump en invoquant l’article 3 du quatorzième amendement, « Ce sera à nous, le 6 janvier 2025, de dire aux foules déchaînées de Trump qu’il est disqualifié…nous avons besoin de gardes du corps pour tout le monde dans des conditions de guerre civile.” Et la momie, non contente d’avoir traité l’électorat de Trump de poubelle, promet  un bain de sang: “Si nous perdons, il y aura un bain de sang. “

Toutes ces allégations justifient les mesures extrêmes prises contre le candidat républicain et le mouvement America First. Trop forts les gauchos quand il s’agit d’accuser les autres de semer le chaos dont ils sont les instigateurs. Les français connaissent bien les magouilles gauchistes, elles sont légion; pourtant 65% d’entre eux seraient prêts à récidiver s’ils avaient à voter le 6 novembre prochain. Des Gaulois… 

“Le peuple ignore les preuves des abus de pouvoir de Biden et Harris. Tous ces pronostics ressemblent à des fantasmes paranoïaques. Ce sont des inversions de la réalité soigneusement scénarisées destinées à réécrire l’histoire et à occulter les crimes de la gauche qui ont ébranlé les piliers de la république.”* 

Trump n’est pas un politique. C’est un homme d’affaires. Le régime démocrate ne lui pardonne pas sa réussite brillante. Si Trump se sert d’extravagance et d’exubérance pour s’exprimer, que dire de Macron qui fait dans la vulgarité sans mesure ?  Personne ne parle du bilan de Donald Trump au cours de son premier mandat. Mais rassurons nous, nous savons déjà qu’il n’a pas été un président facho, qu’il n’a pas flirté avec les russes, et qu’il n’a tué aucun de ses partenaires politiques. 

Au cours de ses 4 années de pouvoir, cet homme excessif a commencé par se faire remarquer en jouant du tweeter comme un gamin qui découvre le pouvoir des réseaux sociaux avec 87 millions d’abonnés. Trump a sur son tableau d’honneur la réforme fiscale et les baisses d’impôts. Il a tenté de rendre l’Amérique « great again » avec un chômage tombé à 4,5% avant le Covid. Même s’il n’a pas mené à bout la construction du mur mitoyen avec le Mexique, (170 kilomètres de clôture ont été installés sur 600), il a réussi à stopper sans restriction les clandestins à la frontière et il a expulsé des milliers d’illégaux. Il lègue aux républicains un don précieux en nommant à la Cour Suprême, 3 juges sur 9. 

l’Unesco, l’OMS, le Traité de Paris sur le climat, l’accord sur le nucléaire iranien, la fin du multilatéralisme, sont autant de promesses de campagne tenues. En changeant les règles commerciales avec la Chine, il a provoqué une prise de conscience et surtout la fin du crétinisme européen. Il a réussi une rencontre très improbable avec le coréen Kim Jong en juin 2019, qui a abouti à une poignée de mains entre les deux chefs coréens, une rencontre qui aurait pu mener à des échanges plus approfondis s’il avait pu poursuivre le dialogue. De nombreux observateurs estiment que Trump « a sorti la diplomatie de l’inertie ». 

En mai 2018, il est favorable au déménagement de l’ambassade américaine à Jérusalem. Il œuvre pour le rapprochement d’Israël avec ses voisins arabes en faisant signer les Accords d’Abraham, deux traités de paix entre Israël et les Emirats arabes unis et entre Israël et Bahreïn suivis d’une déclaration tripartite signée par le président Trump en tant que témoin et suivis plus tard du Soudan et du Maroc, alors que tous les diplomates et les chefs d’États de la planète se sont cassés le nez pendant 76 ans.

Trump affirme qu’à la tête de la Maison Blanche, il aurait évité le 7 octobre et que dans le cadre d’une victoire, il pourrait faire cesser la guerre en Ukraine, débarrasser les US du wokisme, calmer les Ayatollahs. (toutes les communautés iraniennes en exil votent pour Trump). Si ses ennemis le moquent, je tends à croire que cet homme extravagant outrageux et brillant en affaires reste de loin le meilleur pour mener à terme les négociations les plus périlleuses. 

Les politiques ont perdu la main à force de se perdre dans le politiquement correct qui a brisé tous les débats de fond en remplaçant l’argumentaire par des slogans ou par le dénigrement de tous les contradicteurs marginalisés, expulsés du débat et considérés systématiquement comme des fachos d’extrême droite. Le débat contradictoire n’est plus possible, les arguments ne sont plus recevables, le débat est clos avant même d’avoir été ouvert. 

Aujourd’hui c’est suspect d’être vivant, c’est suspect d’être différent et l’on punit séance tenante tous ceux qui ne sont pas politiquement corrects.

Le monde a besoin d’un homme qui ose… Il n’est pas certain qu’il remporte une victoire le 6 novembre. 

Séraphine

** sources Lee Smith auteur du livre Disappearing the President: Trump, Truth Social, and the Fight for the Republic, publié le 22 octobre dernier.

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