A force de battre et de rebattre les cartes, il a bordélisé l’Assemblée nationale et n’a pas cessé « d’emmerder les français « au grè de ses manigances et de ses combines. Pour éliminer le RN, Emanuel Macron s’est associé à une bande d’agitateurs par le jeu malsain du désistement, faisant fi de la volonté de 10 millions de français et d’une campagne antisémite fasciste et subversive menée officiellement par LFI avec la complicité indirecte du président.
3 blocs ennemis siègent désormais au sein d’une Assemblée nationale qu’il a fait sauter en éclats. 3 blocs qui ont transformé la chambre basse en un tripot où l’on brasse les cartes, où l’on s’épie les yeux plein de méfiance, où l’on bluffe, on triche, on piétine la fonction politique dans un jeu de dupes de l’ordre de l’escroquerie, dans l’espoir de gagner le poste de premier ministre.
Outre les grenouillages, les intrigues et les manèges politiques, les députés de la République n’hésitent pas à se comporter comme des canailles en offrant sans retenue à leur électeurs un spectacle indécent, ponctué d’insultes, de grossièretés, d’insolence, d’outrages, faisant de ce qui reste encore de la République et de la démocratie une poubelle à l’image de leur débauche politique et de leur immoralité.
La France ne s’appartient plus, elle est colonisée par les drapeaux palestiniens dans la rue, à la Chambre des députés et même dans les bureaux de vote. Ces drapeaux sont en réalité les drapeaux du parti Baas, le Parti socialiste de la résurrection arabe. Chaque couleur du drapeau Baas a une signification particulière: La djihad islamique. Le statut des mécréants juifs et chrétiens relégués au stade de sous-hommes, les dhimmis. La hiérarchie des races. l’industrialisation et le commerce de l’esclavage international et l’époque mamelouke marquée par la destruction des églises et des synagogues en Égypte.
Dans le chaos de cette dissolution, Mélenchon signe son soutien au Hamas en utilisant une de ses idiotes utiles flanquée d’un keffieh, symbole des combattants armés du Hamas, devant les électeurs sidérés. Le spectacle irrévérencieux, arrogant, vulgaire, adressé aux électeurs se poursuit avec une malveillance constante. Le député PS, B. Vallaud, traite Emmanuel Macron de « forcené retranché à l’Elysée », sous entendant par ce terme qu’une camisole de force lui serait nécessaire. Le député LFI, Quatennens suggère une «Grande marche populaire en direction de Matignon», à la manière de Mussolini, tant qu’à faire, et la syndicaliste Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT défend l’idée de «mettre l’Assemblée nationale sous surveillance et appelle au respect du vote populaire».
Ce qui nous reste de liberté est en danger. Plus que jamais la gauche unie, brûle des cierge pour la disparition de la chaine Cnews, mais le comble de cette grande farce vient de Dominique de Villepin le patos pied noir, ancien Premier Ministre de Jacques Chirac qui provoque l’ire des droites en appelant à voter pour le Front Populaire. La sécurité des Jeux Olympiques sera assurée par des forces de l’ordre en provenance du Qatar qui profitera sans doute de cette aubaine pour faire de l’entrisme en toute légalité. Enfin, pour ajouter au décor Potemkine, l’insoumis Raphaël Arnault un antifa fiché S, plus facho que la lie des fachos, à été élu à l’Assemblée nationale. Toute cette fièvre du pouvoir rappelle tristement les ligues fascistes françaises de 1934.
Dans sa lettre aux Français E. Macron se plaint du vote massif des français pour l’extrême droite, mais il s’abstient de mentionner la dissolution. Sans majorité, il demande aux députés de trouver des alliances politiques en se déchargeant de la responsabilité qu’il porte dans la situation catastrophique qu’il a construit. La cuisine politique se fait devant les électeurs écœurés par les comportements de chiffonniers de cette gente marécageuse indigne de feu la Grandeur de la France.
Sous Emmanuel Macron la République a été blessée, torturée, violée, crépolée, victime de fichés S en liberté, pendant que le peuple terrorisé est confiné dans une semi liberté forcée. Sous Emmanuel Macron, la République est victime d’un antisémitisme nauséabond, dangereux et menaçant. L’abjection sous toutes ses formes a été validée par l’indulgence coupable du Président préoccupé par son égo et son trône.
Le bateau croule sous toutes sortes d’invectives, le vocabulaire parlementaire parle d’antisémitisme, de génocide de nazisme, d’islamo-gauchisme, de fascisme, de xénophobie, d’anti-républicains…
La politique n’est pas un jeu de hasard où le président joue à l’apprenti sorcier avec la vie ou la mort de la France. Il n’est plus le chef, il a édifié un climat insurrectionnel pour regagner un pouvoir qu’il a perdu. Le peuple a le vertige, il est en colère, on a trahi sa confiance. Le débat politique est allé trop loin. En surfant sur les peurs et les menaces, il a ouvert une voie royale au RN, qui avance silencieusement en rampant comme Kaa le noble et bienveillant python royal du livre de la jungle qui fait mine de se prélasser au soleil alors qu’il est un chasseur dangereux qui chante pour endormir sa proie :
« Aie confiance, Crois en moi, Que je puisse Veiller sur toi « …
Séraphine