Le vacarme médiatique accompagnant l’odyssée de l’Océan Viking, fournit l’occasion de se demander de quoi cette symphonie tapageuse est le révélateur.
Elle consiste à nous faire gober l’idée que, bien que nos gouvernants qui se proclament, depuis peu, vent debout contre la submersion migratoire qui s’accélère sous les yeux médusés des autochtones, il faut accueillir pour des raisons hautement humanitaires les migrants de tous horizons.
De fait, ceux qui prétendent avoir compris que leurs citoyens sont majoritairement opposés à la dissolution de leur identité, leurs traditions, leur histoire nationale, leur art de vivre à la française sont les mystificateurs au service de la grande réinitialisation prônée ouvertement par les mondialistes de tout poil.
Leurs discours sont démentis chaque jour qui passe par leurs actes sous des prétextes plus fallacieux les uns que les autres. Ils tentent de berner « la populace populiste » en jouant sur sa corde sensible , alors que toute la politique menée depuis une trentaine d’années prouve au contraire que cet afflux de main d’œuvre à bon marché est sciemment programmée pour mettre au pas les classes populaires et la classe moyenne.
Depuis 2017, on observe d’ailleurs que l’exécutif met sournoisement les bouchées doubles.
Les nouveaux damnés de la terre, d’autant plus désirables pour les classes dirigeantes et leurs affidés, qu’ils sont aux antipodes de notre culture et de nos traditions séculaires et religieuses, la plupart du temps originaires de contrées ignorant le concept même de démocratie, sont encouragés par les stratagèmes les plus insidieux à investir l’Eldorado européen.
Dans quels buts : diviser pour régner ? Servir de main d’œuvre taillable et corvéable à merci pour les nantis ? Museler les revendications sociales et détricoter les acquis sociaux des générations précédentes ?
En résumé créer le chaos pour ensuite au nom de l’ordre public justifier le caractère de plus en plus autoritaire de l’Etat-croupion, au service d’organismes supranationaux : ONU,OMS,FEM de DAVOS,TRILATÉRALE,CLUB de BILDERBERG,UNION EUROPÉENNE, FMI,BCE (en me limitant à ceux dont les noms sont connus du grand public.)
Si vous voulez bien vous en donner la peine, tout ceci est écrit noir sur blanc (en des termes plus anodins), dans un ouvrage intitulé le Grand Reset, d’un dénommé Klaus Schwab dernier rejeton d’une dynastie industrielle allemande des environs de Ravensburg, et qui avait déjà compris tous les avantages et délices du capitalisme de connivence, sous le IIIème Reich.
Soyez donc assurés que je n’invente rien. Si vous en doutez je vous invite à lire ce manifeste socio-politique (indigeste), sa perception de l’humain se situe quelque part entre Mein Kampf et le petit livre rouge de Mao Tsé Toung.
Pour les lecteurs qui n’auraient ni le temps ni l’envie je vous joins ci-dessous un résumé du livre de Schwab et Malleret paru en juin 2020.
Pour ceux qui ont le temps et qui ne contentent pas d’ingérer sans le moindre esprit critique la prose unanimiste des grands médias subventionnés, je les encourage à se documenter plus avant.
RÉSUMÉ
Le Great Reset est l’idée à la mode des élites mondialisées qui gravitent autour du Forum de Davos. Mais que signifie-t-il au juste ? S’agit-il, comme on le lit parfois, du dernier projet néolibéral destiné à balayer nos services publics ? Ou bien est-il le complot pour une domination du monde dont parlent certains ?
Ce projet mérite d’être analysé et compris, car il risque d’avoir un véritable impact sur notre vie quotidienne dans les années à venir.
Le Great Reset, c’est l’appel officiel à utiliser la pandémie et les confinements pour changer les comportements sociaux et sociétaux, une occasion historique d’accélérer la quatrième
Révolution industrielle, celle de la digitalisation. C’est aussi un éloge de l’intervention de l’État pour imposer la transition écologique et l’économie circulaire. C’est encore une justification à la surveillance de tous les individus grâce à Internet et à la reconnaissance faciale.
Loin des fantasmes, cet opuscule propose une lecture littérale du livre de Klaus Schwab, fondateur du Forum de Davos, co-écrit avec Thierry Malleret (ancien conseiller de Michel Rocard), « COVID-19 : La grande réinitialisation » publié en juillet 2020 et en donne une interprétation conforme à sa lettre : ni complot, ni parole en l’air, le Great Reset formalise une aspiration profonde, à la fois étatiste et écologiste, qui structure la pensée dominante d’aujourd’hui.
Alphonse Danlmur
