JÂne, les rats, les salades, les betteraves et les migrants…

Strasbourg meurt à petit feu sous le regard consterné des Strasbourgeois et sous la force d’inertie d’une maire qui a décidé de faire chier les Strasbourgeois jusqu’à la fin de son mandat, en transformant la ville en poubelle nupes.

Après les rats qui courent les rues, les salades et les betteraves qui pourrissent sur la Place du Temple Neuf, son dernier refus de se rendre à la Synagogue de la Paix pour l’hommage du 14 juillet dédié à la République, jÂne revient sur la scène pour signer un énième chapitre de son incompétence. 

Depuis le mois de mai 2022, un campement de migrants s’est installé sur la Place de l’Etoile, dans des conditions insalubres, sous le regard indifférent de JÂne qui a laissé pourrir la situation malgré les multiples appels des élus, les courriers, les interventions des associations et des riverains…

Suite à une « déclaration des personnes sans abri » qui permet à tous d’occuper l’espace public, même si cela est illégal et à l’accueil des OQTF, (personnes dans l’Obligation de Quitter le Territoire Français), Strasbourg devient la ville du squat légalisé selon la volonté du maire, qui n’a de cesse que de ruiner la ville. 

Devant l’obligation de lancer le feu d’artifice du 14 juillet, JÂne, qui rêvait d’annuler les festivités, a été contrainte de mettre en place de toute urgence, une procédure de déplacement du campement vers un gymnase municipal.

La municipalité nupes ment lorsqu’elle affirme pouvoir accueillir tout le monde de façon inconditionnelle. Il est est impossible de créer des places d’hébergement et d’accueillir une population sans perspective d’intégration. 

Multiplier à l’excès les signatures et l’accueil de migrants pour les parquer dans des conditions de vie inhumaines est un acte criminel.  Être élu maire et notamment maire d’une capitale européenne, exige d’accepter de faire face à toutes les obligations et à tous les combats.

Pour le grand malheur de Strasbourg, Jeanne Barseghian, la maire de Strasbourg, révèle à chaque événement son incapacité à établir des relations responsables, respectueuses et stables avec les strasbourgeois. Jamais un élu strasbourgeois n’a suscité autant d’hostilité, voire de détestation.

Depuis son élection, la maire nupes affiche à chaque événement une attitude qui trahit une rigidité, une inflexibilité voire une inclination constante à prendre racine dans les sous-sols de la négativité.

JÂne a décidé de se laver les mains de tout ce qui se passe à Strasbourg. Les mairies vertes nous auront appris, que non seulement leurs élus sont nullissimes en matière de gestion des villes, mais encore qu’ils sont loin, très loin, de l’écologie dont ils se réclament. 

Une ville est l’image de son maire. Il est de plus en plus évident que ce ne sont ni l’ampleur de son intelligence, ni le poids de son travail qui donnent à JÂne, l’envergure qui lui manque pour tenir le rôle de maire. 

Et, Strasbourg a un besoin urgent de retrouver les lettres de noblesse qui lui ont été confisquées. 

Séraphine

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