Barseghian, la chute d’une utopie. Vetter, l’espoir de Strasbourg.
Il fut un temps où Strasbourg brillait d’un éclat particulier. Ville d’Europe, capitale parlementaire, berceau de culture, de science, de tradition et d’innovation. Aujourd’hui, cette fierté s’est étiolée sous le mandat de Jeanne Barseghian, les strasbourgeois ont vu leur ville se dégrader, se fracturer et se refermer sur elle-même.
Jeanne Barseghian a transformé Strasbourg en un terrain d’expérimentation idéologique. Elle a fait de la capitale européenne un véritable bac à sable où tout semble permis, oubliant que Strasbourg ne lui appartient pas. Sa gestion, déconnectée des préoccupations des habitants, a lentement transformé la ville en caricature. Ce qui était autrefois un modèle européen se trouve désormais soumis à une idéologie rigide.
Se déplacer à Strasbourg est devenu un véritable défi. L’extension du stationnement payant, d’abord marginale, est désormais omniprésente, pesant sur le quotidien des habitants. La situation est d’autant plus inquiétante que les piétons sont de plus en plus en danger, confrontés à des vélos et des trottinettes qui traversent librement les zones piétonnières. Les commerçants du centre-ville voient leur clientèle s’échapper, victimes d’une gestion municipale qui semble ignorer les réalités locales.
Depuis son élection en 2020, Jeanne Barseghian a pris Strasbourg en main comme un laboratoire d’expérimentations, dont les résultats sont désastreux. Son mandat est une succession de faux pas, de divisions et de rêves verts qui se fracassent face à la réalité.
D’abord le scandale de la mosquée Eyyub Sultan. A peine élue, Barseghian soutient une subvention de 2,5 millions d’euros pour ce projet controversé, sans anticiper les tensions que cela provoquerait. Résultat : une polémique nationale et un projet qui s’effondre faute de vision sérieuse.
Les camps de migrants se multiplient, comme celui du parc de l’Étoile, des familles sont en difficulté, des quartiers sous tension, et la maire impuissante face à cette situation, se contente de rejeter la responsabilité sur l’État, plutôt que de proposer des solutions concrètes.
Pire encore, Barseghian s’est lancée dans un véritable numéro d’équilibriste en multipliant les gestes symboliques comme le jumelage avec le camp d’Aïda, vêtue d’un keffieh sur les épaules et présentant une carte de la région où Israël avait disparu sous un coup de gomme. Un véritable show politique pitoyable. Cette alliance douteuse a jeté de l’huile sur le feu, mettant en péril les relations déjà fragiles avec la plus vieille communauté juive de France, et prêtant à ses décisions des relents de soutien indirect au Hamas.
Les hausses d’impôts (+25 % sur la taxe foncière), le prix du stationnement devenu exorbitant, les transports publics à l’agonie, et une sécurité en déclin. Le tram Nord à l’agonie. Les rues sont mal aménagées, comme la rue Mélanie, la propreté de la ville, l’insécurité et la prolifération des rats, les fêtes populaires en déclin, deviennent les préoccupations quotidiennes des Strasbourgeois. Quant à la cathédrale, elle n’intéresse plus les touristes elle est éteinte la moitié du temps au nom de l’”écologie”. Les commerçants, les habitants, et les visiteurs ne cessent de se lamenter. Un maire doit rassembler, mais avec Jeanne c’est la débandade au quotidien.
D’un côté, une Cosette devenue un tyran vert qui prend Strasbourg pour sa maison de poupées. De l’autre, un homme se dresse. Il comprend que la ville est fracturée, fatiguée, humiliée.
Vetter est un homme de terrain, un leader pragmatique. Il lance le mouvement « Aimer Strasbourg », pour rassembler tous ceux qui veulent une ville apaisée, dynamique et cohérente.
Son projet repose sur des engagements concrets.
Il promet des conseils de quartier vivants, où chaque habitant pourra avoir voix au chapitre. Il veut soutenir l’économie locale, redonner vie aux commerçants asphyxiés, et prône une écologie réaliste, qui respecte à la fois l’environnement et le confort des Strasbourgeois.
Il met aussi la sécurité au cœur de son programme : plus de policiers municipaux, plus de moyens, pour que les rues de Strasbourg redeviennent sûres. Vetter veut également ramener les grandes fêtes populaires, du marché de Noël aux événements estivaux, pour retrouver l’âme festive de la ville.
Son objectif est clair. Strasbourg doit retrouver sa place en tant que capitale humaniste, loin des polémiques stériles et des querelles inutiles qui divisent. En tant que carrefour entre les cultures et symbole de l’Europe, Strasbourg mérite une vision qui transcende les obstacles et qui porte haut les valeurs d’unité, de coopération et de prospérité.
Strasbourg a toujours été une ville d’accueil, une cité où la diversité se transforme en force. Il est temps de retrouver ce souffle de liberté, de tolérance et d’ouverture qui a fait sa grandeur. Pour le candidat alsacien aux Municipales de 2026, il est essentiel de revitaliser ses quartiers, d’encourager un développement économique durable et d’investir dans des projets créateurs d’emplois, de solidarité et de bien-être pour tous ses habitants. Une ville qui respire, c’est avant tout une ville où l’on prend soin de ses espaces verts, de sa qualité de vie, et où l’on met l’accent sur des solutions respectueuses de l’environnement.
Strasbourg a un potentiel immense pour rayonner à l’échelle européenne et internationale. Ce rayonnement ne doit pas être uniquement politique ou économique, mais aussi culturel et social. Il s’agit de faire de Strasbourg un véritable laboratoire d’idées où les échanges sont soutenus, où la créativité et l’innovation sont encouragées. C’est en retrouvant cet esprit d’ouverture et de curiosité qu’elle pourra se redéfinir comme un pôle d’attractivité, un carrefour d’échanges et de prospérité, à la hauteur de ses ambitions.
Il est temps que Strasbourg retrouve enfin ses lettres de noblesse. Ce n’est pas seulement une question de prestige historique, mais de redonner à la ville l’élan qui lui permettra de jouer son rôle de modèle en Europe.
Séraphine