« L’aspiration des Arabes à détruire l’État juif est une aspiration générale qui n’a jamais cessé et ne s’est jamais affaiblie. S’ils avaient le pouvoir, s’ils y parvenaient, ils nous extermineraient et nous tueraient jusqu’au dernier. »

Le 7 octobre 2023, le monde a assisté en direct à un massacre d’une barbarie inouïe. Des images insoutenables, des documentaires et des films ont témoigné de l’horreur.

3 000 terroristes du Hamas dont des civils, ont franchi les frontières au petit matin, massacrant sans distinction hommes, femmes et enfants, brûlés vifs, violés, éventrés, torturés et exécutés à bout portant.

Pour comprendre la radicalité de cette idéologie, il faut relire la charte du Hamas, même révisée, elle révèle une glorification explicite de la mort que l’organisation terroriste proclame ouvertement à travers des déclarations et des tweets qui échappent à toute rationalité occidentale. L’un de leurs slogans emblématiques illustre cet appareil à tuer : « Nous aimons la mort autant que vous aimez la vie… La mort au nom d’Allah est notre vœu le plus cher. » 

La tragédie du pogrom du 7 octobre a révélé la complicité affichée des mouvements de gauche, des institutions internationales et de nombreuses « Démocraties », qui loin de condamner sans ambiguïté un massacre d’innocents, se sont empressés de chercher des excuses aux bourreaux et de les glorifier sous couvert d’un discours pseudo-humanitaire.

Dès les premières heures du 7 octobre 2023, les réactions de l’Occident ont été édifiantes. Alors qu’Israël pleurait ses morts et comptait ses disparus, une partie de l’intelligentsia européenne  refusait de qualifier les actes du Hamas pour ce qu’ils étaient : Un Pogrom. Une Shoah. 

Des manifestations de soutien aux terroristes ont rapidement émergé dans les rues de Paris, Londres, New York et Berlin où des foules brandissaient le drapeau palestinien et scandaient des slogans appelant à l’éradication d’Israël. Pire encore, dans certaines universités occidentales, des étudiants et des professeurs ont osé justifier ces atrocités comme une « réponse légitime » à la politique israélienne, trahissant ainsi leur soumission .

Les institutions internationales ont suivi la même ligne de conduite hypocrite. 

L’ONU, censée défendre la paix et la justice, s’est une fois de plus révélée être un instrument de propagande au service du Hamas. Plutôt que de condamner sans équivoque le massacre, le Secrétaire général a préféré insinuer qu’Israël portait une responsabilité dans son propre malheur, reprenant ainsi les éléments de langage du Hamas.

La Commission des Droits de l’Homme de l’ONU, gangrenée par des régimes autocratiques et des États islamistes, s’est empressée de multiplier les résolutions accusant Israël de crimes de guerre, tout en ignorant sciemment les exactions du Hamas.

La Cour Pénale Internationale (CPI) et la Cour Internationale de Justice (CIJ), qui se veulent les gardiennes du droit international, ont opté pour la lâcheté en acceptant d’instruire des dossiers contre Israël, tandis que le Hamas, véritable responsable des crimes contre l’humanité, restait impuni. 

Comment justifier une telle iniquité ? Pourquoi ces institutions, soit disant impartiales, commettent elles autant de perfidie ? Parce qu’elles sont gangrenées par un antisémitisme structurel et un calcul politique cynique, où Israël sert de bouc émissaire commode pour ménager les régimes arabes et satisfaire une opinion publique occidentale influencée par la propagande palestinienne. 

Mais la responsabilité de cette ignominie ne s’arrête pas aux institutions internationales. 

En France et en Europe, les partis de gauche, qui nous faisaient croire qu’ils étaient les défenseurs des droits de l’homme et de la démocratie, se sont soudain  mués en complices du terrorisme retrouvant ainsi les sources originelles de leurs traditions antisémites. 

La France Insoumise, par la voix de Jean-Luc Mélenchon et de ses lieutenants, a refusé de qualifier le Hamas de groupe terroriste, préférant parler de « mouvement de résistance ». Un discours qui non seulement insulte la mémoire des victimes du 7 octobre, mais légitime aussi les pires atrocités.

Quant aux gouvernements européens, leur réaction a oscillé entre la lâcheté et l’opportunisme. Emmanuel Macron, fidèle à sa politique du « en même temps », a condamné mollement les massacres tout en appelant Israël à la «retenue », et en appuyant la décision de Joe Biden de ne plus armer Israël au risque de voir Israël disparaître sous les missiles des avions Iraniens. Aux yeux des salopards, une démocratie agressée devrait tendre l’autre joue face à une organisation terroriste dont la seule ambition est son extermination. 

La soumission de l’Europe à la menace islamiste est aujourd’hui quasi totale, par peur des émeutes dans leurs propres banlieues, par calcul électoraliste, les dirigeants occidentaux ont choisi d’abandonner Israël et de pactiser avec le diable.

Le 20  février 2025, la famille Bibas kidnappée par des civils gazaouis, est rentrée à la maison dans des cercueils verrouillés remis à Israël après la danse macabre des décérébrés du Hamas.  Au cours de l’autopsie, il a été constaté par les israéliens que le corps de la maman, n’appartient pas à Shiri Bibas ni à aucun autre otage israélien. De plus, les enfants Bibas volés le 7 octobre 2023, sont morts le 23 novembre 2023, contrairement aux déclarations mensongères du Hamas, qui déclarait que la famille Bibas avait été victime des bombardements israéliens. Les enfants Ariel et Kfir Bibas, ont tragiquement perdu la vie entre les mains de leurs ravisseurs. Selon les analyses médico-légales, ils n’ont pas été abattus, mais tués à mains nues par strangulation. Les auteurs de cet acte atroce auraient ensuite tenté de dissimuler les traces de cette abomination, pour laisser croire que les enfants auraient été victimes d’un bombardement israélien. La découverte du corps de Shiri, si on le retrouve, laisse présager que la barbarie culturelle inscrite dans l’ADN d’un peule de tueurs, n’aura rien épargné à une maman innocente.

Est ce qu’enfin ces images, des otages et de la famille Bibas vont réveiller cette « Communauté internationale » et ses satellites, l’ONU, la CPI, la CJI, le Parlement Européen, la Cour des droits de l’Homme, et l’ensemble de ces institutions dont les fonctions sont aujourd’hui aussi obsolètes que l’Europe? 

Est-ce que ces images mettront fin à l’ignominie des Etats, des organisations et des gauches internationales dont le jeu consiste  à accuser Israël d’être un état génocidaire ? 

Est-ce ce que l’ADN antisémite est tellement inscrit dans leurs gènes pour qu’ils persistent à citer le Hamas comme une organisation de combattants et de résistants ?  

Ces images crèvent les yeux et les écrans et montrent au monde entier où se trouve la civilisation (ou ce qu’il en reste), et où se trouve l’idéologie fascisante.   

Ce qui se joue aujourd’hui à Gaza est un avertissement pour le reste du monde libre. Si l’Occident laisse Israël tomber, il sera le prochain sur la liste.

Il vaut mieux être controversé pour les bonnes raisons, que d’être populaire pour de mauvaises raisons. Je ne prépare pas la guerre. Je me prépare à me défendre. Israël n’a pas le choix, c’est mourir ou gagner. Chaque fois qu’il y a eu une opportunité de paix, je l’ai exploitée.” (Shimon  Pérès). 

Silvia Oussadon Chamszadeh

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