« Tbah el g’déb tal bab el dar » (تبّع الكذّاب حتى باب الدار)
« Suis le menteur jusqu’à la porte de sa maison. »
Comme le dit ce proverbe arabe, la vérité se reconnaît à ses actes.
Là où d’autres s’enlisent dans les promesses, Donald Trump a prouvé que la parole n’a de valeur que si elle se traduit par des résultats.
L’hommage à Donald Trump par le peuple israélien est quasi unanime, il lui exprime aujourd’hui sa gratitude. Et c’est justice.
Lorsque le concert des nations a tourné le dos à Israël et aux Juifs du monde entier, Trump est resté droit dans ses bottes, fidèle à sa vision d’une paix fondée sur la réalité et à son engagement pour la libération des otages israéliens.
Certes, Trump n’est pas un homme de posture, c’est un homme d’action. Pour autant, il a joué un rôle central dans la libération des derniers captifs détenus depuis 2023, avec le soutien de plusieurs pays arabes. Ce n’est pas un détail, mais une victoire concrète : la preuve qu’en diplomatie, la force et la crédibilité valent mieux que les discours convenus des technocrates ou les belly danses des chancelleries.
Depuis des décennies, conférences, résolutions et accords symboliques s’enchaînent sans effet. Aucune de ces démarches n’a empêché le Hamas de creuser ses tunnels, l’Iran d’armer ses milices et de poursuivre son programme nucléaire, ni les terroristes d’exploiter les failles du système. La parole seule n’a jamais sauvé une vie.
Trump parle clair, sans fioritures, sans trémolos à la Macron, sans la grandiloquence des énarques ni l’hypocrisie des diplomates onusiens.
Lorsqu’il promet « l’enfer » à quiconque franchira la ligne, chacun sait qu’il tiendra parole. Et cette certitude suffit souvent à dissuader les pires ardeurs sans qu’un seul coup de feu ne soit tiré.
Sous son impulsion, les otages ont été libérés, les accords signés à Charm el-Cheikh, et plusieurs pays arabes se sont mobilisés pour garantir la stabilité régionale.
Tout cela en quelques jours, là où quatre-vingts ans de diplomatie timorée n’avaient produit que des échecs.
Au Moyen-Orient, la paix ne naît pas de la mansuétude mais de la force crédible et la faiblesse engendre le chaos et le mépris.
L’ONU, l’Union européenne, la CPI et leurs cohortes de bureaucrates serviles ont encore une fois démontré leur impuissance et leur inutilité. Seul Trump a prouvé qu’un dirigeant déterminé pouvait obtenir des résultats concrets.
Au cours des années, l’Europe s’est engluée dans la morale et la peur.
Trump, lui a rappelé une vérité simple : on ne fait pas la paix avec des terroristes. On les désarme, on les contraint, on les force à choisir entre la vie et la destruction.
Conçu par Steve Witkoff et Jared Kushner, le plan en vingt points porté par Donald Trump tranche enfin avec la diplomatie du rêve.
Clair, direct, efficace, il s’attaque aux véritables fauteurs d’instabilité : le Hamas, le Qatar et la Turquie, et pour la première fois depuis huit décennies, la morale ne se trouve plus du côté des terroristes.
Les pays du Golfe, lassés du chaos exporté par le Hamas, ont salué ce plan.
Ils savent que les diplomates européens refusent encore d’admettre que le Hamas n’est pas un parti politique, mais une confrérie vouée au djihad permanent auquel Trump répond : « À djihad, djihad et demi. »
C’est en s’adressant aux chefs arabes d’égal à égal que Donald Trump a rallié plusieurs capitales épuisées par des années de guerre et de désordre.
Et pendant ce temps là … Le monde se moque d’Emmanuel Macron, le gesticulateur sans vision, dont les ambiguïtés sur Israël et les complaisances idéologiques inquiètent jusqu’à ses propres rangs.
Sa gestion confuse de l’antisémitisme et du « vivre ensemble » illustre le déni européen de la réalité.
Quand le Moyen-Orient brûle et que l’Europe chancelle, ces ambiguïtés deviennent dangereuses.
Après des années d’inaction sous Obama et Biden, Washington reprend la main. C’est le grand retour de la Pax Americana.
Les frappes sur Fordow (la centrale nucléaire iranienne), la présence navale face aux Houthis, la fermeté envers Téhéran : tout cela prouve que Donald Trump ne plaisante pas, et que Jared Kushner, fin stratège, sait que la diplomatie ne se limite pas aux armes. De Riyad au Caire, il a tissé des liens personnels pour rappeler une évidence : l’islamisme armé est l’ennemi commun, et seule l’alliance entre Israël et les États-Unis peut le contenir.
Le Hamas ne déposera pas les armes sans résistance. Mais pour la première fois depuis longtemps, l’initiative appartient à ceux qui veulent vivre, non à ceux qui glorifient la mort.
Donald Trump n’a pas reçu le Prix Nobel de la Paix. Il a obtenu bien mieux : la reconnaissance des peuples.
La médaille Order of Zayed, plus haute distinction civile des Émirats arabes unis, remise à Abu Dhabi par Sheikh Mohammed bin Zayed.
La médaille Order of Abdulaziz al-Saud, médaille d’or d’Arabie saoudite, pour ses efforts en faveur de la stabilité régionale.
La médaille Israeli Presidential Medal of Honor, à venir, pour son rôle dans la libération des otages et ses efforts pour la paix.
Le Prix Nobel de la Paix 2025 a été attribué à María Corina Machado, cheffe de l’opposition vénézuélienne, pour son combat démocratique.
Sur X, elle a déclaré :
« Je dédie ce prix au peuple souffrant du Venezuela, et au président Trump pour son soutien décisif à notre cause. »
Dans une interview exclusive, elle a salué ses sanctions, ses déploiements militaires et la récompense de 50 millions de dollars promise pour l’arrestation de Maduro, qualifiant ce dernier de “narco-terroriste” et soulignant que les actions de Trump ont isolé et affaibli le régime.
Et demain ?
Le monde regarde vers l’Ukraine, ravagée par des années de guerre. Espérons que Donald Trump saura aborder ce conflit avec la même détermination, la même lucidité et la même volonté qui ont permis de libérer des otages et de stabiliser le Moyen-Orient.
Il y a les clowns qui ont du génie,
et les cons qui ne changent jamais d’avis.
Séraphine