Le Canard enchaîné du 26 janvier relate les tribulations d’un alsacien à Paris.
L’histoire:
C’est un mec LR, président de la région Grand Est, qui rêve de devenir Vizir. Il tente de se rapprocher de Jupiter, et se met au pied du monarque des dieux pour lui quémander quelques brins de terre…
Malchanceux, notre mini Vizir alsacien, aurait pris contact, depuis quelques mois déjà, avec l’association « horizon » d’ Edouard Philippe. Mais le pauvre Jean Rottner, il est comme Caliméro, personne ne l’aime. En désespoir de cause il va toquer à la porte de Valérie Pécresse, actuelle candidate à la présidentielle pour le parti L.R.
Un pas en avant, deux pas en arrière et un pas sur le côté pour éviter les obstacles, c’est le mouvement classique du tango politique. Sauf que pour Caliméro, la sauce commence à tourner. En dansant pour Valérie, il a provoqué les foudres du dieu Macron.
Le Canard enchaîné laisse entendre que la sentence de Jupin sera sans pitié. Il aurait très envie d’emmerder Caliméro en mettant fin à la région Grand Est s’il emportait les prochaines élections.
Morale de l’histoire
Les décisions politiques sont davantage motivées par des problèmes d’amour-propre, d’ego, de vengeance, d’intimidation, que par la prise en compte des vraies aspirations des citoyens.
Si pour punir les fourberies de Jean Rottner, Emmanuel Macron pense à libérer l’Alsace du Grand Est, on pourra dire Merci à Caliméro !
Séraphine