La mairie de Lyon confirme l’interdiction du foie gras dans les réceptions officielles. Strasbourg devient peu à peu la capitale des bovins, liminaires, oies et canards. A Bordeaux le maire s’est battu pour la défense des arbres coupés, mais il n’hésite pas à donner son accord pour la destruction de milliers d’hectares de forêts. Ainsi va le monde de l’écologie politique, machiavélique et destructrice. L’écologie est la star des supporters de toutes les idéologies négatives.
Quid du homard ébouillanté vivant, de l’huître frétillante dans sa coquille qui souffre lorsqu’elle est dévorée vivante ? Quid de la dinde farcie, du chapon castré ?
Une série de mesures trompe-l’œil pour un électorat trompé. Ces écolos-politiques n’ont jamais mis les pieds dans une ferme , sinon ils sauraient qu’un canard se gave tout seul dès qu’il est au bas d’un tas de grains
C’est la vraie vie à la campagne. Pas celle des écolowokistes. Il faudrait leur supprimer les subventions et les attribuer aux rares vrais écolos et non à ceux qui pratiquent une politique non citoyenne en nuisant aux éleveurs et aux restaurateurs français.
A défaut de mener des politiques écologiques de déplacements, de limitation de l’usage des chauffages à foyer ouvert, de tri des déchets, les maires écologiques interdisent le foie gras, les chauffages en terrasse à l’heure de la COVID
Les français sont gavés de ces mesurettes. Ils n’ont pas la culture du tofu et des graines, l’ingurgitation de ces nourritures rend le teint blafard, favorise la mauvaise humeur et développe les écolostristes et les écolosagressifs. Les écolos n’ont strictement rien à faire en politique. Il doivent rester dans leur rôle initial : la sauvegarde de la planète stricto sensu.
Cruella